La Collection Courtauld.
« Le parti de l'impressionnisme »
Du 20 février au 17 juin 2019
« La Collection Courtauld, le parti de l’impressionnisme » atteste du regard et de l’engagement de Samuel Courtauld (1876-1947), l’un des plus grands mécènes du vingtième siècle. Construite de façon fulgurante en complicité avec sa femme Elizabeth, majoritairement entre 1923 et 1929, cette collection d’un remarquable industriel du textile, aux origines françaises, rassemble un ensemble exceptionnel d’oeuvres impressionnistes et postimpressionnistes.
Première présentation à Paris depuis celle du musée de l’Orangerie en 1955, l’exposition réunit quelque cent dix peintures et oeuvres graphiques, dont un ensemble de dix aquarelles de William Turner acquises par son frère, Stephen.
Le parcours est introduit par une oeuvre iconique de Manet, Un bar aux Folies-Bergère.
Il s’organise ensuite autour de deux grands ensembles consacrés à Cézanne, figure d’élection
du collectionneur avec, La Montagne Sainte-Victoire au grand pin, Le Lac d’Annecy, Les Joueurs de
cartes... ainsi qu’à Seurat, Jeune Femme se poudrant, Le Pont de Courbevoie... Ce parcours est jalonné d’oeuvres de Monet, Effet d’automne à Argenteuil, La Gare Saint-Lazare ; de Renoir, La Loge ; de Degas, Après le bain ; de Toulouse-Lautrec, Jane Avril à l’entrée du Moulin Rouge ; de van
Gogh, Autoportrait à l’oreille bandée, Champ de blé avec cyprès ; de Gauguin, Nevermore, Te Rerioa et de Modigliani, Nu féminin.
L’exposition évoque la démarche philanthropique de Samuel Courtauld habité par une haute idée du rôle de l’art dans la société. Ainsi la création en 1923 du Courtauld Fund a permis de doter les collections nationales de vingt-deux chefs-d’oeuvre d’art moderne français dont l’indéplaçable Une baignade, Asnières de Seurat, contribuant à imposer l’impressionnisme en Angleterre à travers ses institutions.
Un an après la disparition d’Elizabeth, Samuel Courtauld crée, en 1932 - à l’initiative du vicomte Lee of Fareham, diplomate - l’Institut Courtauld rattaché à l’Université de Londres et consacré à l’enseignement de l’histoire de l’art et à la conservation des oeuvres. Souhaitant ne pas dissocier cet apprentissage du contact direct avec celles-ci, il fait don la même année à l’Institut de sa demeure de Home House, construite par Robert Adam (1773-1777) et de soixante-quatorze peintures et dessins. L’ensemble de la collection sera légué en grande partie à l’Institut après sa mort en 1947.
L’Institut et la Galerie Courtauld s’installent en 1989 à Somerset House -ancien siège londonien de la Royal Academy of Arts. C’est à sa fermeture temporaire que cette exposition doit d’être présentée aujourd’hui à Paris. Sa rénovation, dont celle de la célèbre « Great Room » renforcera les passerelles entre oeuvres, espaces d’exposition, lieux d’enseignement et fonds documentaire désormais numérisé.
Vidéos disponibles sur le site de Digital New Agency :
https://digitalnewsagency.com/story/9969/manet-van-gogh-pierre-soulages-and-gerhard-richter-on-display-at-new-fondation-louis-vuitton-exhibitions-in-paris
Exposition
“La Collection Courtauld, le parti de l’impressionnisme”
Du 20 février au 17 juin 2019
Commissariat général
Suzanne Pagé Directrice artistique de la Fondation Louis Vuitton
Ernst Vegelin van Claerbergen Head of The Courtauld Gallery, Londres
Commissaires
Karen Serres Conservatrice des peintures, The Courtauld Gallery, Londres
Angeline Scherf Conservatrice, Fondation Louis Vuitton
avec Sixtine de Saint-Léger
Architecte scénographe
Marco Palmieri
Première présentation à Paris depuis celle du musée de l’Orangerie en 1955, l’exposition réunit quelque cent dix peintures et oeuvres graphiques, dont un ensemble de dix aquarelles de William Turner acquises par son frère, Stephen.
Le parcours est introduit par une oeuvre iconique de Manet, Un bar aux Folies-Bergère.
Il s’organise ensuite autour de deux grands ensembles consacrés à Cézanne, figure d’élection
du collectionneur avec, La Montagne Sainte-Victoire au grand pin, Le Lac d’Annecy, Les Joueurs de
cartes... ainsi qu’à Seurat, Jeune Femme se poudrant, Le Pont de Courbevoie... Ce parcours est jalonné d’oeuvres de Monet, Effet d’automne à Argenteuil, La Gare Saint-Lazare ; de Renoir, La Loge ; de Degas, Après le bain ; de Toulouse-Lautrec, Jane Avril à l’entrée du Moulin Rouge ; de van
Gogh, Autoportrait à l’oreille bandée, Champ de blé avec cyprès ; de Gauguin, Nevermore, Te Rerioa et de Modigliani, Nu féminin.
L’exposition évoque la démarche philanthropique de Samuel Courtauld habité par une haute idée du rôle de l’art dans la société. Ainsi la création en 1923 du Courtauld Fund a permis de doter les collections nationales de vingt-deux chefs-d’oeuvre d’art moderne français dont l’indéplaçable Une baignade, Asnières de Seurat, contribuant à imposer l’impressionnisme en Angleterre à travers ses institutions.
Un an après la disparition d’Elizabeth, Samuel Courtauld crée, en 1932 - à l’initiative du vicomte Lee of Fareham, diplomate - l’Institut Courtauld rattaché à l’Université de Londres et consacré à l’enseignement de l’histoire de l’art et à la conservation des oeuvres. Souhaitant ne pas dissocier cet apprentissage du contact direct avec celles-ci, il fait don la même année à l’Institut de sa demeure de Home House, construite par Robert Adam (1773-1777) et de soixante-quatorze peintures et dessins. L’ensemble de la collection sera légué en grande partie à l’Institut après sa mort en 1947.
L’Institut et la Galerie Courtauld s’installent en 1989 à Somerset House -ancien siège londonien de la Royal Academy of Arts. C’est à sa fermeture temporaire que cette exposition doit d’être présentée aujourd’hui à Paris. Sa rénovation, dont celle de la célèbre « Great Room » renforcera les passerelles entre oeuvres, espaces d’exposition, lieux d’enseignement et fonds documentaire désormais numérisé.
Vidéos disponibles sur le site de Digital New Agency :
https://digitalnewsagency.com/story/9969/manet-van-gogh-pierre-soulages-and-gerhard-richter-on-display-at-new-fondation-louis-vuitton-exhibitions-in-paris
Exposition
“La Collection Courtauld, le parti de l’impressionnisme”
Du 20 février au 17 juin 2019
Commissariat général
Suzanne Pagé Directrice artistique de la Fondation Louis Vuitton
Ernst Vegelin van Claerbergen Head of The Courtauld Gallery, Londres
Commissaires
Karen Serres Conservatrice des peintures, The Courtauld Gallery, Londres
Angeline Scherf Conservatrice, Fondation Louis Vuitton
avec Sixtine de Saint-Léger
Architecte scénographe
Marco Palmieri